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Esterno Casa

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sabato 22 settembre 2012

Il racconto del campo fatto dai ragazzi


COMPTE RENDU DU CHANTIER SCOUT ETE 2012
Le chantier a débuté le mercredi 15 août à 9 heures. Nous étions
douze pios-cara de France, motivés et prêts à rendre service quel que soit
le travail à faire. Les trois chefs présents nous ont beaucoup aidés dans
notre travail au long de la semaine.
Ricardo nous a accompagnés sur les deux lieux à travailler. Un petit
sentier nous amenait au chantier le plus proche du campement. Le second
était un peu plus haut, plus difficile d’accès. Après de nombreuses
explications en italien, pas toujours faciles à saisir, nous avons compris le
but de notre travail : le premier chantier devait être débroussaillé, et
débarrassé de toutes les pierres ainsi que les branches, lierre, et lianes qui
jonchaient le sol et les murs de la maison qui bordait la plateforme. Le
passage devait être plus accessible, et propre afin que les propriétaires
puissent procéder à des visites et le présenter au patrimoine historique.
« En haut », c’est comme cela que l’on nommait le second chantier, nous
devions nettoyer deux pièces d’une maison en ruine, enlever les 20 cm de
terre qui recouvrait le sol de pierre, pierres et branches pour par la suite
construire un mur d’escalade et deux salles d’équipement.
Nous avons très vite convenu d’une organisation qui consistait à
envoyer les huit garçons « en haut » et les quatre filles sur le chantier du
bas avec les chefs qui faisaient des allers et venues entre les deux
chantiers. Très vite nous nous sommes mis au travail. Pour commencer
chacun de son côté débarrassait les pierres et branches qu’il trouvait sur
son passage et les rassemblaient en deux tas distincts. A la fin de la
matinée, lorsqu’il fut l’heure de commencer le repas, nous avons observé
le travail effectué et nous étions satisfaits de notre avancée. Tellement
fiers de nous que nous avons pensé qu’il n’était pas nécessaire de
travailler l’après midi. Toutes les pierres étaient enlevées et il restait très 
peu de branches.
Le deuxième jour, nous étions un plus petit effectif de jeunes car
certains étaient partis faire les courses. Malgré tout, nous avons terminé
de retirer les branches des sentiers et des plateformes pour commencer à
débroussailler les murs de la maison. C’était plus fatiguant pour nous les
filles qui nous trouvions à quatre pour un travail demandant plus d’énergie
que le chantier du haut, où les garçons commençaient à nettoyer la
maison, au râteau et à la pelle. Nous avons donc décidé, de répartir mieux
les rôles et les placements de chacun. Ainsi trois garçons sont descendus,
venus pour nous aider. Nous avons mis beaucoup de temps à comprendre
les instructions de Ricardo (heureusement que Matthieu était là pour nous
traduire un maximum de conseils de sécurité et autre...) Le travail a bien
avancé et nous commencions à douter du laps de temps (trop long à notre
avis) donné pour terminer les chantiers.
C’est toujours avec le sourire et l’envie d’aider que nous entamions
le troisième jour de travail. Cette fois ci nous avons échangé avec tous les
garçons pour éviter de se lasser du chantier, et voir et observer les deux
lieux. Les filles sont donc montées « en haut », les garçons sont
descendus. Ne pas oublier la musique dont on poussait le volume au
maximum pour se motiver et éviter de s’épuiser moralement comme
physiquement. Nous pensions avoir fini le chantier à la fin de la matinée
car Ricardo nous répétait « Basta, basta » mais finalement quel fut notre
surprise quand Luca, un garde forestier, responsable de la forêt nous a
annoncé qu’il fallait encore débroussailler d’autres murs, et nettoyer
quelques buissons de ronces qui bouchaient l’entrée de la plateforme.
Nous avons donc suivi ces instructions pendant deux jours.
Chacun trouvait sa place dans le chantier, avait des responsabilités
et était heureux de se rendre utile. Nous l’étions d’autant plus que les
responsables étaient contents de nous et de notre travail. Nous nous
encouragions et même les plus faibles y trouvaient leur compte. Nous
nous sommes beaucoup amusés principalement les garçons qui se
défoulaient en donnant de grands coups de faucille pour déraciner les
ronces, les arbres etc.... De plus, le chantier était à l’ombre, et nous ne
souffrions pas de la chaleur ce qui était très reposant.
Le dernier jour de chantier arriva et nous n’étions plus que 8 jeunes
à travailler parce que c’était le jour du concours cuisine mais aussi parce
que 2 pionniers-caravelles ont du être amenés à l’hôpital pour une
vérification. La fatigue commençait un peu à se ressentir mais malgré
tout, nous avions envie de finir ce qu’on avait commencé, et de le finir
bien. Ricardo est venu au campement, et le programme changea. Nous ne
devions plus aller aux deux chantiers habituels. Pour notre dernier effort,
un premier groupe a du débroussailler l’arrière du jardin de la Villa
Christina et le second consistait à arracher les ronces implantées au vestige d’un moulin.
En demandant à chaque pionnier ou caravelle ses impressions, j’ai
eu le sentiment que chacun avait été heureux d’accomplir un travail
demandant énergie et motivation. De plus nous voyions le progrès et
l’avancée du chantier ce qui faisait plaisir à voir.
Voilà comment notre troupe résumerait les chantiers effectués
durant la première partie de notre camp. Les propriétaires nous ont
beaucoup encouragés et aidés et leur reconnaissance à la fin de nos
travaux était un vrai plaisir partagé par chacun de nous.
MERCI !


Cronaca del Cantiere SCOUT ESTATE 2012
Il cantiere è cominciato mercoledi 15 agosto alle ore 9. Noi eravamo in dodici. Pionieri e
Caravelle di Francia, motivati e pronti a rendere un servizio qualunque lavoro ci fosse da
fare. I tre capi presenti ci hanno molto aiutato nel nostro lavoro lungo tutta la settimana.
Riccardo ci ha accompagnato su 2 luoghi per lavorare. Un piccolo sentiero ci conduceva al
cantiere più vicino al campo. Il secondo cantiere era posto più in alto e di difficile accesso.
Dopo numerose spiegazioni in Italiano, non sempre facili da recepire, abbiamo compreso le
finalità del nostro lavoro : il primo cantiere doveva essere diserbato e sgomberato da tutte
le pietre, conpresi i rami , le edere e le liane che disseminavano il suolo e le mura della casa
che fiancheggiava il pianerottolo. Il passaggio doveva essere reso più accessibile e pulito,
da poter consentire ai proprietari di poter permettere delle visite per la conoscenza del
patrimonio storico. <> , quello che abbiamo nominato secondo cantiere , abbiamo
dovuto ripulire due ambienti di una casa in rovina, levare via 20 centimetri di terra che
ricopriva il pavimento , pietre e rami , in seguito costruire un muro di salita e due ambienti
attrezzati. Ben presto abbiamo optato per una organizzazione che consisteva nell’inviare gli
otto ragazzi <> e le quattro ragazze sul cantiere <> con i capi che si
alternavano tra i due cantieri. Immediatamente ci siamo messi a lavorare. Per cominciare
ciascuno ha sgomberato il suo angolo da pietre e rami che si trovassero lungo passaggio
raccogliendoli in due distinti cumuli. A fine mattinata , prima del pasto, abbiamo osservato
il lavoro fatto , soddisfatti del punto raggiunto. Talmente fieri di noi stessi, da ritenere non
necessario proseguire nel lavoro pomeridiano. Tuttti i sassi erano stati tolti e restavano pochissimi rami .
Il secondo giorno poichè alcuni di noi sono andati a fare la spesa, eravamo in meno effettivi
al lavoro. Ciò nonostante , abbiamo terminato di sfoltire il sentiero dai rami e dai pavimenti
per cominciare ad estirparli dai muri della casa. E’ stato molto faticoso per noi 4 ragazze
gestire un lavoro che necessitava di maggiori energie rispetto al cantiere <>, dove i
ragazzi cominciavano a pulire la casa con rastrello e pala. Abbiamo quindi deciso di
ridefinire i ruoli ed i compiti di ciascuno. Quindi 3 ragazzi sono venuti ad aiutarci. Avevamo
impiegato molto tempo a comprendere le istruzioni di Riccardo (per fortuna che Matteo era
lì per tradurre il massimo dei consigli per la sicurezza ed altro...) Il lavoro si è ben svolto, e
abbiamo cominciato a dubitare dei tempi ( a nostro avviso lunghi) dati per terminare il cantiere.
E’ sempre con il sorriso ed il desiderio di servire che iniziamo il terzo giorno di lavoro. Questa
volta abbiamo scambiato il cantiere con i ragazzi per evitare che si annoiassero e per poter
vedere ed osservare i due luoghi. Le ragazze sono salite <> , i ragazzi sono discesi .
Per ascoltare la musica , abbiamo fatto crescere il suo volume al massimo, per motivarsi
ed evitare di esaurirsi sia moralmente che fisicamente . Pensiamo di aver terminato il
cantiere alla fine della matinata perchè Riccardo ci ripeteva <> , ma con
nostra sorpresa quando Luca, una guardia forestale responsabile della foresta , ci comunica
che occorreva ancora estirpare altri muri e pulire qualche cespuglio di rovi che tappavano
l’inizio del pavimento .Abbiamo dato seguito a queste istruzioni per i due giorni successivi.
Ognuno ha trovato il suo ruolo all’interno del cantiere, aveva dei responsabili ed era felice di
rendersi utile. Noi lo eravamo , altrettanto , più dei responsabili che erano contenti di noi e
del nostro lavoro. Ci incoraggiavamo ed anche i più deboli trovavano il loro ruolo da
svolgere. Ci siamo molto divertiti soprattutto i ragazzi che si sono sfogati con grandi colpi di
falce per sradicare i rovi, gli arbusti etc.... Inoltre il cantiere era all’ombra, e noi non
abbiamo sofferto della calura, cosa risultata molto riposante.
Siamo giunti all’ultimo giorno del cantiere e noi eravamo solo in 8 a lavorare perchè si è
trattato del giorno della gara di cucina ma anche perchè 2 pionniers-caravelles sono stati
portati in ospedale per accertamenti. La fatica ha cominciato a manifestarsi ma nonostante
tutto, abbiamo terminato ciò che avevamo cominciato, e finito in bellezza, Riccardo è venuto
all’accampamento, e il programma è cambiato, Non dovevamo più recarci ai due cantieri
abituali, . Con un ultimo sforzo, un primo gruppo ha dovuto disboscare il di dietro del
giardino della Villa Cristina ed il secondo gruppo doveva rimuovere i rovi impiantati nelle
vestigia di un mulino. Domandando a ciascun pionnier e caravelle le sue impressioni, ho la
certezza che ciascuno sia stato felice di assolvere un lavoro che ha richiesto energie e
motivazioni. Inoltre osservare il progredire e lo svolgersi del cantiere ha fatto piacere nel
vederlo. Ecco come il nostro gruppo racconta lo svolgimento dei cantieri durante la prima
parte del nostro campo.. I gestori ci hanno molto incoraggiato ed aiutato e la loro
riconoscenza alla fine del nostro lavoro è stata condivisa con ciascuno di noi.
GRAZIE !